Parce que l’âme d’un lieu est intimement liée à l’histoire des individus qui l’habitent, présentation de ceux et celles qui vous accueilleront cette saison ….

Claire 

Entre les vignes et la montagne, son cœur balance. Originaire des terres sacrées du nord de la France, peuplées d’elfes, de druides et de menhirs, elle grenouille en Suisse le temps d’infuser un projet de vie alliant sa passion avec sa terre natale. Peut-être, grâce à elle, goûterons nous un jour à un vin inédit qui apportera une pierre nouvelle à l’édifice de la culture viticole !  Mais en attendant, elle infuse, elle expérimente … et elle apporte à l’équipe toute sa bonne humeur, son humour décapant et sa joie de vivre !

Coraline

Fraîchement débauchée de l’équipe d’aide gardiens de la Cabane Rambert (super cabane avec de super gardiens !) au-dessus d’Ovronnaz, Coraline s’installe durablement dans le Valais après 4 années passées à Lausanne. Originaire du sud de la France, elle est passionnée de trail et de randonnée et, depuis plusieurs années, officie comme bénévole inconditionnelle au club alpin de Lausanne. Après 3 ans à travailler sur des évènements sportifs (marathon, triathlon), elle décide que c’est bien plus rigolo de voir trimer de pauvres randonneurs mal avertis que des coureurs professionnels surentraînés et démissionne pour se lancer dans l’aventure cabane … et nous en sommes ravis !

Donavan

Le couteau suisse de l’équipe ! Entre deux coups de balai et la préparation d’une fondue, il n’est pas rare de le voir sauter dans une salopette de chantier pour aller refaire la toiture ou régler le problème de cette chasse d’eau qui fuit. Il se dit touche à tout mais bon à rien mais personne n’y croit. Sportif aguerri, il ne ménage pas sa peine pour satisfaire à toutes vos demandes avec efficacité et célérité. Grand passionné des Pink Floyd et de Tarantino, ne le lancez pas sur le sujet ou vous risquez de ne jamais voir la couleur du rösti que vous venez de commander. Ne vous fiez pas à son air timide, il se cache derrière cette façade beaucoup d’humour et de bienveillance !

Clément

Passionné de chamois depuis sa tendre enfance, Clément rêvait d’en faire un élevage intensif. Après plusieurs échecs successifs, il a dû se rendre à l’évidence que la vie avait pour lui d’autres desseins, et c’est dans la cuisine qu’il a finalement trouvé un sens à son existence, pour le plus grand bonheur de nos papilles. D’abord puriste de civets et médaillons de chamois (de rage, il avait abattu tout son troupeau avant sa reconversion), il s’est peu à peu intéressé à des mets un peu plus variés. Mais la légende dit que, même dans un rösti nature ou une fondue qui sort de ses casseroles, il y a ce petit arrière-goût fumé et insaisissable qui nous transporte direct à la saison de la chasse. Sinon, il fait très bien les brownies mais c’est rare qu’ils aient le temps de sortir de la cuisine...

Sabrina

Pour le troisième hiver consécutif, nous avons la chance de profiter de sa bonne humeur et de son fou rire contagieux. Passionnée de gressini, elle s’affaire à faire de ces petits boudins de blé dur dès qu’elle a 2 minutes, et avec tellement d’amour que toute l’équipe les grignote avec bonheur même si ça nous pète les dents. Montagnarde accomplie, elle n’hésitera pas à se lancer dans un road trip de plusieurs jours pour aller gratter du caillou d’escalade ou à parcourir les grands cols européens avec une petite bicyclette de ville, le sourire en guise de passeport. Polyglotte, polyvalente, c’est l’atout indispensable des cabanes de montagne, à retrouver à plus de 3200 m d’altitude en été pour les plus aguerris !

Pauline

La tenancière, celle qui « tient la baraque » comme on dit (enfin, on sait pas vraiment qui tient l’autre). Après un parcours tout en courbes, elle découvre le monde des cabanes à la manière dont se font les grandes découvertes : complètement par hasard. Et c’est le coup de foudre, l’évidence. « Vivre en cabane ou périr », telle devient sa devise.

Elle s’essaye alors comme aide cabane dans différents massifs : Pyrénées, Alpes fançaises, Suisse … Et c’est ici, à Balavaux, qu’elle est honorée du titre de gardienne grâce à la confiance des bedjuis et au soutien sans faille des mélèzes.